Animal crackers in my soup
Sur cette version linguistique de Wikipédia, les liens interlangues sont placés en haut à droite du titre de l’article. Un article de Wikipédia, l’encyclopédie animal crackers in my soup. Comme les autres êtres vivants, tout animal a des semblables avec qui il forme un groupe homogène, appelé espèce.
Dans le langage courant, les termes animal ou bête sont souvent utilisés pour distinguer le reste du monde animal de l’espèce humaine. Le langage courant diffère également du biologique par le fait que animal renvoie souvent à une certaine taille qui exclut entre autres les insectes. La science consacrée à l’étude du règne animal est la zoologie. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Comme pour tous les organismes vivants, l’eau est l’élément dont les animaux ont le plus de mal à se passer. En plus du fait que les cellules sont essentiellement constituées d’eau, l’eau est nécessaire à la plupart des réactions biochimiques où elle sert de solvant.
L’acquisition de dioxygène sert à oxyder les hydrates de carbone pour produire de l’énergie chimique, elle est donc aussi une priorité pour la plupart des animaux. Les animaux possèdent également des systèmes très divers de locomotion et de perception. Ils possèdent en outre divers systèmes de circulation de fluide à l’intérieur du corps et de coordination des différentes cellules. L’organisation interne des animaux peut être très variable, depuis les colonies de cellules relativement amorphes que forment les éponges aux organisations complexes les insectes ou des vertébrés.
Ils forment le règne Animalia, subdivision du domaine Eukaryota. Les animaux à organisation cellulaire, c’est-à-dire que ces organismes sont constitués d’un agrégat de cellules différenciées et spécialisées comme les cellules somatiques et celles responsables de la reproduction. Les organismes à organisation cellules-tissus ou diploblastiques, c’est-à-dire qu’ils sont formés à partir de feuillets cellulaires à fonction définie. Il peut y avoir entre ces feuillets une matrice qui ne constitue pas un véritable tissu cellulaire et qui ne contient aucun organe différencié.
Certains classent les éponges dans ce groupe mais les méduses en sont un meilleur exemple. Et enfin on distingue les organismes à organes-systèmes qui représentent la majeure partie des embranchements. Ils disposent d’un ou plusieurs systèmes circulatoires pour plusieurs fluides vitaux, un système respiratoire dédié, un système digestif, un réseau nerveux permettant la perception, etc. Les annélides en sont un des exemples les plus simples. Les cellules animales sont hétérotrophes, c’est-à-dire qu’elles doivent manger pour survivre, contrairement aux plantes. Le mode de nutrition est souvent une caractéristique contraignante pour les animaux. La stratégie des éponges consiste à filtrer l’eau qui les traverse, pour y capturer des proies et particules.
Ce sont des animaux sans système nerveux ni tube digestif. L’organisation de type ver est un autre type de plan d’organisation. Cette stratégie permet notamment d’exploiter des déchets organiques, qui peuvent être à haute valeur nutritive, mais ne se déplacent pas. Passé le cap des éponges et des polypes, tous les organismes complexes sont des bilatériens, qui dérivent d’un schéma fondamental : le tube. Ces deux axes conduisent à un plan d’ensemble où les côtés droit et gauche tendent à être symétriques, d’où leur nom de bilatérien.
D’un point de vue fondamental les vers diffèrent des cnidaires les cellules nerveuses s’organisent en un système nerveux cohérent, qui chez certains organismes pourra donner un cerveau à l’avant de l’animal. L’invention du tube digestif à partir de la cavité gastrique ancestrale semble avoir été faite deux fois. Chez les protostomiens, les deux orifices du canal alimentaire sont formés à partir du blastopore, dont les lèvres se rapprochent pour former un canal par soudure longitudinale. Tous les bilatériens ne gardent pas une morphologie vermiforme. Vertébrés, qui s’organisent au contraire autour d’un squelette interne.